[Interview] Entretien avec Anthony Herodet, Chargé de Communication au sein du FCG

Après notre série “journal d’un forgeron confiné à retrouver en cliquant ici“ et tandis que la nouvelle saison continue de se préparer en coulisses, nous vous proposons cet entretien entre Piero et Anthony Herodet, Chargé de Communication au sein du FCG

Piero : Bonjour Anthony, tu es une pierre angulaire de notre communication web, du site aux réseaux sociaux et j’aurais souhaité que tu te présentes à ton tour à nous :
« Bonjour ! L’exercice est particulier pour moi (rires). Alors tout d’abord, je suis originaire du Creusot mais mes parents et ma famille sont issus du Bourbonnais… Je suis un mélange entre la Bourgogne et le Bourbonnais. »

Qu’entends-tu par Bourbonnais ? Le côté Bourbon-Lancy ?
« Non, le Bourbonnais historique on va dire, c’est à dire du côté de Tronçais et de Cosne d’Allier. Mais pour ma part, j’ai fait toute ma scolarité au Creusot avant de monter sur Dijon pour les études supérieures puis finalement me rendre sur Lyon pour débuter ma carrière professionnelle… Une belle ville, dynamique avec de nombreuses opportunités. J’y suis depuis 2011 maintenant mais avec un projet de retour en Bourgogne. »

Pourrais-tu nous parler de ton métier ?
« Je travaille dans l’informatique en tant qu’ingénieur ou consultant. Je suis intervenu auprès de plusieurs clients sur Lyon ou Saint Etienne dans l’énergie, la distribution, la santé ou la fonction publique… Mes missions étaient plutôt variées selon le client, j’ai un profil « couteau-suisse » ! »

Et comment s’est passé cette période de confinement pour toi et ta petite famille ?
« Plutôt bien même si on avait des craintes au début… J’étais en télétravail, chose que l’on pourrait croire commune dans l’informatique mais en vérité cela dépend des clients. Dans ma mission actuelle, j’ai eu la chance d’avoir des outils plutôt éprouvés et cela ne m’a pas trop posé de problème technique par rapport à d’autres entreprises ou surtout, à d’autres corps de métiers… Ma femme était également en télétravail et nous vivions au quotidien avec nos 2 enfants dans notre appartement Lyonnais. Nous avons adopté une organisation et, malgré les inquiétudes que j’évoquais, il y a finalement eu une routine qui s’est installée. Néanmoins, chacun devait faire preuve de patience (rires). Vivre 24h sur 24 dans un appartement de 75 m2, ce n’est pas évident mais nous n’étions pas les plus à plaindre non plus. Nous avons fait l’effort de ne sortir qu’une seule fois par semaine, à savoir le samedi, dans le kilomètre autorisé autour de l’appartement. Le dé-confinement à 100 km nous a vraiment fait du bien car on a pu partir prendre l’air en dehors de Lyon. Depuis, nous avons repris nos activités normales en respectant les gestes barrières même si je reste en télétravail. »

L’informatique a beaucoup évolué depuis sa naissance ! Il y a eu beaucoup d’évolutions notamment sur les serveurs qui ont remplacé les grosses unités centrales, les ERP et progiciels…
« Oui et on est en perpétuelle évolution dans l’informatique ! Sur les architectures, tu connais les architectures monolithiques et on arrive désormais sur des architectures composées d’un ensemble de micro-services utilisées par Netflix, Amazon ou Google… En France aussi on met en place cela lorsque la maturité du système d’information le permet. Mais l’informatique reste un outil et ce qui se fait dans les grosses boîtes type SNCF, ENEDIS, Orange… n’est pas forcément approprié pour les plus petites structures. Il faut être innovant mais rester pertinent ! »

On va parler maintenant de ta passion pour le foot : quels sont tes antécédents ? Y-as-tu joué plus jeune ?
« Pas du tout (rires). A la maison, on était plutôt F1… Et rugby ! J’ai pratiqué du tennis de table en club durant une dizaine d’années et la « passion foot » est arrivée plus tard. On jouait dans le quartier, on en parlait avec des copains ou des cousins et pour ma part, j’aimais et j’apprécie toujours des clubs comme les Girondins de Bordeaux ou Liverpool. Mon club de cœur, c’est bien sûr Gueugnon mais je n’ai pas connu l’épopée de 2000 ! Mon premier match au stade était en 2002 : au cœur de l’hiver face à un adversaire dont j’ai oublié le nom… Je suis allé à Jean Laville avec des amis du tennis de table, j’étais frigorifié en tribune Est ! J’avais froid aux pieds et aux mains mais je ne sais pas pourquoi, je suis tombé accroc de ce club, de ce stade, de l’ambiance… Pour moi, le foot ça se passe dans le stade ! Depuis, je n’ai pas connu l’épopée 2000 mais je me suis bien rattrapé ! »

Je te fais un petit raccourci : tu fais partis des Ultras ? Comment on rejoint un groupe de supporters Ultras ?
« Malgré la distance depuis le Creusot, j’ai eu la chance de pouvoir aller régulièrement au stade avec des jeunes rattachés au groupe. Durant les matchs, je trainais dans le bloc C1 de la tribune Ouest auprès du kop… Le groupe cherche toujours des jeunes pour garder une dynamique, se renouveler et finalement, cela s’est fait de manière naturelle… Des discussions dans le kop durant la mi-temps qui se sont prolongées sur le web ou par sms, des rencontres avec des jeunes de mon âge… Il y a toute une nouvelle génération qui a rejoint le groupe et je me rappelle encore avec Nicolas « Le Boucher » lorsqu’on a commencé à mettre un peu plus la main à la pâte, à faire des tifos, des déplacements… Cela a crée des liens ! »

Quel est ton rôle au sein du groupe ?
« A la préfecture, je suis officiellement le secrétaire des Ultras Gueugnon mais il n’y a pas d’organigramme mis à part le président Olivier Degrange (rires). Depuis 2002, les Ultras ont connu de nombreux hauts et bas… Depuis le retour en DH en 2011, on a fait pas mal de déplacements, désormais en minibus grâce à Pascal Cornon et le FCG, on a un lieu de vie à nous… Toutes ces choses là ont fait qu’on a retrouvé du plaisir en tribune et qu’on a pu appliquer à nouveau notre devise : « Ultras pour le délire, Gueugnon pour le plaisir ». En effet, c’est toujours un plaisir de se retrouver le week-end à Jean Laville. Pour ma part, j’assiste toujours aux matchs dans mon kop avec les Ultras puis, parfois, j’enfile ma casquette de chargé de communication pour par exemple, aller sur la pelouse faire des photos…»

Oui car on te retrouve également en tant que webmaster du FCG ! Comment t’es-tu retrouvé dans cette fonction ?
« Webmaster, Community Manager, Chargé de communication… Je n’ai pas de dénomination officielle (rires). En fait, j’ai toujours essayé d’animer le club : que ce soit à Jean Laville avec les Ultras mais aussi sur Internet. A l’époque, on avait ouvert une page Facebook avec Bafana, un supporter du FCG vivant sur Paris. On faisait écho de l’actualité du club et on s’amusait déjà à l’époque à essayer de faire parler de nous, avec l’After RMC par exemple… Ensuite, il y a eu l’époque des « Vairelles » qui ne sont clairement pas les meilleurs moments du club. Puis, après le dépôt de bilan en 2011, j’avais cette page Facebook et on a relancé le site avec Aurelien Perrin. Depuis, j’ai eu plusieurs organisations avec Dominique Federico, Michel Berthommier ou encore Christophe Noluveau et l’ensemble des acteurs du FCG. J’ai continué à mettre de plus en plus la main à la pâte dans la partie édito du site en plus des réseaux sociaux (Facebook et Twitter).
En fait, après 2011, nos réseaux sociaux n’étaient pas ceux officiels du club car je ne voulais pas engager la responsabilité du club sur internet…. Mais, de fil en aiguille, ceux-ci sont devenus officiels. Entretemps, Gueugnon est monté en CFA2/N3 et Christophe Noluveau nous a rejoint. J’ai travaillé dans l’équipe édito-com’ avec des gens comme Benoit Perre, Simon Berthommier, Sébastien Herodet, Quentin Dessauge… Et désormais avec Guillaume Avinain, Thomas Dumont, Nicolas Dumont et bien sûr toi Piero ! On a quand même une belle équipe édito-com’ si on rajoute certaines personnes qui nous accompagnent pour les photographies, vidéos et bien plus encore… Moi, la grosse problématique que j’ai au sein de l’équipe, c’est d’être à distance… C’est complexe, parfois frustrant, de ne pas avoir toutes les infos, de ne pas être en visibilité des acteurs autour du FCG et d’avoir l’impression de ne pas pouvoir aider pleinement le club… J’ai surtout l’impression d’être l’emmerdeur de service toujours en train de poser des questions, de gratter des infos à gauche à droite et d’ennuyer avec mes idées (rires). Mais les personnes avec qui je travaille sont extrêmement compétentes au sein du club et au final, tout se passe toujours bien, c’est l’essentiel ! »

On va parler du nouveau site qui vient à peine de sortir. Comment cela s’est-il passé ?
« Pendant le confinement, il y a eu le sujet du nouveau logo pour les 80 ans du club. On avait fait un planning par rapport à la nouvelle saison pour savoir à quel moment on lançait le logo puis, en même temps, on s’est dit que ça serait intéressant de faire une refonte du site. C’était une belle occasion ! Guillaume et Thomas sont d’excellents graphistes, bien meilleurs que moi en tout cas ! J’ai fait des visuels pour le site et les réseaux sociaux avant eux ou pour les anciennes versions du site mais c’était moins esthétique car je n’ai pas forcément cette compétence là… Pour moi, l’informatique c’est un peu comme la médecine, il y a de nombreuses spécialités !
Donc, on a fait une réunion en interne pour savoir ce que chacun pensait du site actuel, sur le fond et la forme, en positif et négatif. On a également demandé l’avis des visiteurs et supporters via un sondage. Ayant également cette casquette de supporter, cela me tient à cœur de demander l’avis de notre Forgeron Family. De ces réunions, il y a des maquettes qui sont sorties et en me basant sur les maquettes, j’ai fait les développements. Le lancement a été plutôt compliqué mais on a pu livrer le site à la date prévue ! On reste un club amateur et ce travail est bénévole mais on va pouvoir le peaufiner avec le temps… On doit être à la 5e version du site depuis 2011… Ça reste pas mal ! »

Et quand tu a créé les sites du FCG, cela a du te servir d’expérience dans ta carrière ?
« Oui ! Que ce soit le site, la partie édito ou l’animation des réseau, même bénévole cela reste des expériences très valorisantes. De plus, comme à Gueugnon il y a beaucoup de choses à faire et peu de moyen, on retrouve l’esprit inventif, couteau-suisse et laboratoire ! Il y a du champ libre pour essayer et faire des choses et comme tu l’évoquais, le FCG aide a créer des vocations professionnelles voire même des carrières. Personnellement, si on fait le rebond sur ma propre carrière, j’ai une ligne sur mon CV concernant le FCG et lors de mes différents entretiens, celle-ci a fait plusieurs fois la différence et a permis de me démarquer car c’est un club que pas mal de gens connaissent. »

Comment est-on organisé au FCG pour gérer le site, les infos, actualités etc…?
«  Actuellement, on a une organisation plutôt agile avec Guillaume. On a des points réguliers pour identifier, imaginer et planifier les contenus etc… Michel Berthommier a aussi un accès sur la partie Glorieux FCG. En fait, on essaye de tenir un calendrier de publication à la semaine. Nos semaines commencent le mercredi et finissent le mardi avec, classiquement, le match au milieu et l’idée est de produire et publier nos contenus selon l’actualité… »

Pourrais-tu nous dire si les vues, l’audience, la charge ont progressé depuis la version 2011?
« Oui, il y a eu de très bons pics et des moins bonnes périodes… On a aussi changé de stratégie ! Il y a une époque où l’on faisait beaucoup de choses sur les réseaux sociaux et pas du tout sur le site. Il y a eu une époque où l’on faisait tous les lives sur le site par exemple et on avait logiquement énormément de vues ! Le site fait partie d’une stratégie web qu’on a définie de manière empirique, qui n’est pas gravée dans le marbre et qui englobe nos réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram, Linkedin, Youtube…) mais aussi du print avec notamment le Forgeron Mag’ , du mailing et plein de choses comme ça… Pour ma part, j’essaie de maintenir une certaine rigueur, d’équilibrer, maximiser et pérenniser les choses… Au final, on propose tout de même régulièrement des contenus de qualité qui sont appréciés avec une équipe essentiellement bénévole ! »

Tu as des chiffres à nous donner ?
« Sur le site ? On oscille entre 20.000 à 25.000 visites par mois pour environ 50.000 pages consultées sur toute la France et l’étranger… Sur nos réseaux sociaux en cumulé, nous avons une communauté de quasi 20.000 fans ce qui nous classe facilement dans le Top 80 du foot français…
Ces chiffres, je les prends comme un indicateur de la qualité du travail de notre équipe et de nos contenus ! »

Dernièrement, tu m’as accompagné dans la mise en ligne du « journal des confinés ». Peux-tu nous en faire un bilan et sur ce que tu as ressenti ?
« Les lectures sont très intéressantes ! Bon, cela nous a également permis de meubler une période creuse au niveau com’ (rires). Mais j’ai trouvé les témoignages extrêmement riches et cela m’a encore plus convaincu de l’amour porté à ce club dans le sens où, on voit l’histoire de certaines personnes qui ont travaillé autour du club, on voit l’intérêt qu’ils portent au club, et en fait on voit ce que le club représente pour les gens… Mine de rien, c‘est très fort et je pense que certaines personnes avaient pu l’oublier et ça fait du bien de le relire et de le redire : Avec 8.000 habitants, Gueugnon a fait près de 40 ans en Ligue 2, a récolté un grand stade de 14.000 places et à une histoire, des joueurs et un palmarès qui a marqué les esprits et qui créé des vocations.
Concernant les stats, il y a eu 17.000 lectures pour les confinés !

Et sur les lives des matchs ? Que peux-tu nous en dire ? Je crois que le FCG a toujours beaucoup fait sur ce thème…
« Ah oui, c’est un sujet qui me tient à cœur depuis même avant la reprise de 2011 car je sais qu’il y a beaucoup d’amoureux du FCG qui ne peuvent se rendre régulièrement au stade… Moi le premier (rires). Les lives des matchs, on les a quasiment tous faits depuis 2011 et c’est un petit exploit ! Je pense qu’on a été assez précurseur là dessus au FCG… Pour ma part en tant que « liver », j’ai du raté 2 matchs seulement : celui du jour de mon mariage et un autre live où j’étais invité en zone blanche au fin fond de l’Yonne… Avant, il y avait ce côté artisanal et j’étais un peu seul mais depuis, on essaye de mieux s’organiser en amont… J’en profite pour adresser un très grand merci à nouveau à toutes les personnes qui ont pu nous fournir des infos !! »

Je crois savoir que ces lives sont appréciés ?
« C’est un contenu assez plébiscité ! Cette saison, c’est 5000 vues en moyenne avec des stats de consultations en Bourgogne bien sûr et sur toute la France ! Si je parle à nouveau de nos indicateurs, je ne regarde pas que la quantité avec les visites ou pages vues mais aussi la qualité avec la durée des visites du site, le taux de rebond et les retours sur les réseaux sociaux. On reste un nom qui parle comme on a pu le voir lorsqu’on a sorti la vidéo du nouveau logo qui a été plébiscitée sur Twitter et concentre 49.000 vues ! On reste un club populaire et une institution que les gens connaissent. »

Et pour revenir à cette saison où l’on a joué le haut du tableau, l’audience a du grimper aussi ?
« Tout à fait ! Comme les constructeurs aiment à le dire en F1, il faut « gagner le dimanche pour vendre des voitures le lundi ». Après, nous au FCG, on a rien à vendre mais à partir du moment où l’équipe A gagne, c’est tout le club qui y gagne et on a effectivement plus de consultations et d’interactions sur le site et les réseaux. Après, que l’on gagne ou que l’on perde, on essaye de maximiser chacun de nos sujets, de produire des contenus de qualité, plutôt exclusifs… Je pense à tes interviews qui sont appréciées par le cercle premier de nos fans mais également au delà ! J’ai eu écho de certains journalistes qui préparent des papiers et viennent voir ce qui se raconte à Gueugnon… »

Avec ta casquette de supporter maintenant : on a joué la montée cette saison, l’équipe réserve est montée au plus haut niveau régional… Comment as-tu ressentie l’année sportive ?
« Depuis 2011, on sent que le club se structure avec l’arrivée de personnes de la région extrêmement compétentes et des forces vives du coin grâce à un travail de l’ombre. Ce qui est plaisant à voir avec ma casquette de supporter, ou plutôt mon « écharpe de supporter », c’est de voir que le club attire des personnes tel que David Vasco ou Patrick Fedrigo pour les jeunes… Ou tout simplement Richard Trivino ! Que ces gens là apportent leur savoir-faire, vont faire bouger le club dans le bon sens mais qu’en plus, comme on a pu le voir avec les interviews des confinés, ces gens là sont des passionnés par le FCG !! Ils ne viennent par intérêt et on en retrouve beaucoup à tous les étages au sein du FCG.
Les choses bougent depuis 2011, le Président Bernard Canard, le Comité Directeur, le Directeur Général Christophe Noluveau et le Directeur Sportif Richard Trivino ont donné un cap. Les gens s’impliquent et le reste suit que ce soit au niveau de l’Académie des jeunes, des différentes commissions ou de l’équipe B devenue Espoirs désormais en R1… D’ailleurs, voir l’équipe B en R1 et l’équipe A en N3 c’est quand même pas mal du tout pour notre ville ! Bravo aux joueurs et à l’ensemble du staff et notamment Fabrice et Yannis pour cela ! »

En fait, on revient à nos fondamentaux…
« De ma vision oui. Que ce soit sur nos valeurs, notre inventivité ou sur la transmission ! Gueugnon reste un club formateur et on le voit avec cette offre de formation qui existe encore chez nous avec nos sections sportives Collège et Lycée ou même le centre de formation UFA, Gueugnon Sport Formation… Peu de clubs le propose et je pense que cela doit faire des envieux ! »  

Et donc, cette saison comment tu l’as vécue ?
« Cela fait du bien quand même de vibrer, d’avoir une série de victoires… Je n’avais jamais connu un tel enchainement de victoires et une telle maitrise sur la pelouse… Ça fait du bien car il y avait de la joie à Jean Laville, les jeunes joueurs étaient reconnaissants envers le public et le kop, c’était vraiment une bonne énergie que l’on a retrouvé partout dans le club et qui concrétise le travail fait au quotidien ! Malheureusement on est tombé sur une équipe d’Auxerre intouchable ! »

Anthony, je te laisse le mot de la fin sur toute cette période et la reprise en cours…
« J’espère que tout le monde va bien déjà et que chacun prend soin de soi et de ses proches parce que cette période actuelle est très complexe et inédite. J’ose espérer qu’on pourra retourner à Jean Laville prochainement… Retrouver les joueurs, le club, le kop… J’ai hâte car la pause a été longue. J’espère qu’on pourra faire une belle saison, on a tous en tête la N2 mais ce n’est pas facile de sortir de cette N3… Mais cela permettrait toutefois de continuer à grandir et à progresser chez les séniors mais également pour les jeunes et l’ensemble du club. Enfin, sur la partie com’ et réseaux sociaux, la chose que j’aurai envie de dire c’est « abonnez-vous » et inviter nos ami(e)s à nous rejoindre pour que l’on puisse faire grossir nos communautés et être encore plus visibles sur le web ! »

Merci à Piero et Anthony pour cet entretien.

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